Votre fauteuil favori ou celui d’un membre de votre famille sera également le fauteuil favori de votre Teckel.
La raison en est que ce meuble garde les odeurs qui lui sont familières soit celles de son maître, soit celles d’autres membres de la famille qui est, en fait, également sa famille.
Il est évident qu’il pensera avoir tout à fait le droit de s’y étendre ou de s’y asseoir comme sur le reste de sa famille.
Comment s’y prendre pour le faire changer d’idée ? Vous avez 2 possibilités :
Briser cette habitude
La plus simple pour briser cette habitude sera de poser sur le fauteuil que votre Teckel apprécie le plus un chiffon imprégné d’un liquide spécial que les chiens ne supportent pas.
Il sautera sur le fauteuil, reniflera et fera demi-tour ; il ne recommencera plus jamais.
Vous pouvez aussi tenter de l’éduquer. Dès qu’il sautera sur un fauteuil, donnez-lui l’ordre « viens », comme vous le lui avez enseigné dans les leçons de dressage ; il quittera immédiatement son fauteuil et viendra vous rejoindre.
Parlez-lui très sévèrement. Après s’être fait gronder plusieurs fois, il ne remontera plus sur votre fauteuil favori… tout au moins en votre présence.
Le grand problème sera évidemment de l’en éloigner définitivement.
Acheter quelques souricières
Vous pouvez aussi recourir à une autre méthode : achetez quelques souricières et placez-les sur « son » fauteuil favori, puis recouvrez-les de quelques pages d’un journal.
Dès que votre Teckel sautera sur le fauteuil, l’une des souricières se fermera en produisant un bruit sec ; effrayé, votre chien sautera du fauteuil.
S’il essaie une seconde fois, une autre souricière claquera et votre compagnon aura compris la leçon.
Vous pouvez également le dresser à se rendre au lit quand vous le lui ordonnez : apprenez-lui le mot « lit » en le lui répétant d’une voix sourde et forte en lui montrant sa couche ; faites-le plusieurs fois jusqu’à ce qu’il comprenne.
Vous pourrez ainsi toujours l’envoyer se coucher s’il occupe votre place ; si malgré tout vous ne réussissez pas, vous n’aurez plus qu’à lever les bras au ciel.